Je salue l’action de tous ceux qui ont œuvré à la recherche d’un accord et, en premier lieu, l’action du président de la République et celle du ministre des Finances qui ont tout fait pour que le dialogue se poursuive. Ces efforts n’ont pas été vains.
Lundi tout semblait impossible. Grâce à l’engagement des socialistes européens et français, le débat a pu reprendre mardi avec de véritables propositions qui ouvrent des perspectives concrètes sur la renégociation incontournable de la dette.
Même si aujourd’hui un accord n’a pas été conclu, la porte doit rester ouverte.
Il appartient maintenant au peuple grec de se prononcer ; nous sommes à ses côtés. Quelle que soit sa réponse, la place de la Grèce est dans l’euro et chacun doit se préparer à reprendre le dialogue.